Poésie-scheveningue, morte saison

997 mots 4 pages
Français A1 – Schevening, morte saison Commentaire – Poésie Le poème « Scheveningue, morte saison » s'agit des vacances d'un personnage dont on ne connaît pas le nom, et plus précisément, il s'agit d'une courte durée de temps passé dans un bar dans la station balnéaire néerlandaise. Il séjourne avec d'autres personnes familières; que l'on peut constater grâce à l'usage du pronom personnel « nous. » Le titre nous présente une idée que le poème semble traiter « morte saison. » Peut-être il est question, de tout simplement le manque de la présence humaine ou la présence minimale d'autres gens. Déjà le poème paraît sinistre à cause de l'adaptation d'une hyperbole symbolique qui relie la mort à la solitude. En reluquant la structure de strophe, on peut établir, sans avoir lu le poème, qu'elle illustre trois étapes d'un voyage ou de vacances. La première strophe brosse une image ressemblent à un monde ou un endroit tranquille, calme et pourvu de bonheur et d'amitié. La beauté de l'endroit est campé à travers les mots « le clair petit bar aux meubles bien cirés », l'amitié représenté par le deuxième vers et l'aisance croqué par le troisième vers. La tonalité du poème jusqu'à ce point ci renforce l'idée de ravissement et d'agrément ressenti par le personnage principale, en lisant la première strophe ont aperçoit ce que le poète a voulu délivrer en termes d''émotion, comme s'il y était et qu'il voyait ces images de ses propre yeux. Le dernier vers de la première strophe marque le changement de tonalité d'émotions. Valery Larbaud utilise le vent d'une manière très sophistiqué, comme un outil qui lui permet de changer de tonalité, puis l'usage de la métaphore « le vent de mer faisait trembler les chaises » donne l'idée de la mer qui engouffre le bonheur et remplace la lueur avec des ténèbres. La situation est un peu ambigüe car on sait pas si c'est à propos d'un état psychologique ou en fait physique car il est possible que le vent puisse faire bouger les

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