Pouvoir
H= Q x 1 1 + Q 2 . x − x
2
MP
L
R C Us
Ue
R+ 1
j.C .ω + j.L.ω j.C.ω
1
d’où …
Q j.x H ( j.ω ) = 1 1 + j.Q. x − x
GdB = 0 ϕ=0 GdB = -40.log x : équation d’une droite de pente – 40dB/decade ϕ = ±π suivant l’étude fine de H.
1
2 x + x2 − 1 2 Q 2
−
1 x2
=
(
)
admet un maximum éventuel en x = xr = 1 −
1 2.Q
2
pourvu que Q >
1 2
Il y a alors pour cette fréquence résonance en tension aux bornes de C. Ce résultat est à rapprocher de la résonance en amplitude de l’oscillateur élastique où cette résonance aussi est éventuelle en fonction de Q. π π ϕ = − + ϕ(3.2.1) On obtiendra donc un diagramme de Bode de déphasage translaté verticalement de − par rapport au 2 2 digramme de phase du montage du 4.1.
Q>
1 2 1 2 Q> 1 2
Q< Q< 1 2
3.2.2.2 – Etude en régime périodique anharmonique On considère que le signal d’entrée est périodique de pulsation ω. 1
EL3 – Action d’un filtre sur un signal périodique Réponse en basse fréquence (bande passante) : ω
1 2
(filtre résonant)
Interprétation grossière : En bande passante, la réponse reproduit le signal d’entrée. Interprétation fine : Les heurts (discontinuités du créneau) sont mal reproduits car les harmoniques de rang élevé qui les construisent sont en bande atténuée.
Interprétation grossière : En bande passante, la réponse reproduit le signal d’entrée. Interprétation fine : Les oscillations sont dues à l’amplification d’harmoniques de fréquences proches de la fréquence de résonance du filtre.
Réponse en haute fréquence (bande atténuée) : ω >> ω0 1 H≈ : le montage a un