Pourquoi considère-nous anormale une pensée qui ne coïncide pas avec la nôtre ?

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Pourquoi considérons-nous anormale une pensée qui ne coïncide pas avec la nôtre ? Friedrich Nietzsche disait dans Généalogie de la morale que « L’homme est l’animal estimateur par excellence ». Cela veut dire que l’homme, au contraire de l’animal, il est conscient de lui-même et il a une aptitude aux choix ; ce choix réfléchi, cette conscience lui permet de porter un jugement sur ses propres actions. Ainsi il peut faire la distinction entre le bien et le mal. …afficher plus de contenu…

Une représentation en perspective ne montre pas la réalité du monde, mais au contraire de notre propre perspective. Mais la perspective ne se réduit pas à une technique de représentation visuelle. Philosophiquement, la perspective « symbolique » représente les choses et les êtres non pas proportionnellement a leur taille physique réelle, mais par rapport a leur valeur en termes de sacré ou de pouvoir. Par exemple dans la conquête d’Amérique on a un rapport du connu a l’inconnu qui choquent. Les colonisateurs européens avaient des distinctions dans leurs doctrine et religion, une perspective différente de comment fonctionnait le monde, qui ont été utilisé comme prétexte à la conquête de territoires. Les Américains avaient une pensée, une croyance qui choquait et pourtant était considéré anormale pour les européens. Dans un extrait …afficher plus de contenu…

La morale est une réflexion sur nos pratiques, nos actes, nos comportements et correspond à la question de Kant : « Que dois-je faire ? » Elle a pour valeur le bien, et par extension, on appelle « morale » les règles prétendant définir ce qui nous en approche ou nous y conduit, la vertu. La morale est une recherche de ce qui doit être pour le sujet ou les relations entre des sujets. On parton de la basse que l’homme est un être moral, nous pouvons suivre la conception que Sartre avait qui consiste dans l’idée que ce que l’homme juge bien est souvent ce qui est bon pour lui, en suivant ainsi son intérêt ou bonheur personnel. La morale devient alors une division du monde pour l’homme, entre ce qui lui fait plaisir et ce qui ne lui fait pas plaisir. Cependant pour nous, notre propre posture de moralité et nos valeurs sont la représentation du bien pourtant sont intransigeants. Pourtant comme la moralité n'est pas subjective,

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