Pour un patron
66 rue du Manio
56100 Lorient
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Madame,
Je vous écris en réponse à votre courrier du 17/09/2012, dans lequel vous me mettez, je cite « en demeure de reprendre immédiatement le travail ».
Je suis étonné de recevoir un tel courriers, sachant que vous m'avez vous même mise en disponibilité le 09 août dernier, m'assurant la mise en place d'une procédure de licenciement.
Je tiens donc à rectifier et à clarifier certains points :
*mon absence est de votre fait, et donc prévue, et donc soumise à votre accord,
*Vous m'avez mise en disponibilité et les perturbations qui y sont liées ne sont pas de ma responsabilité,
*vous avez régulièrement eu de mes nouvelles depuis le 09 août, d'une part concernant mes arrêts de travail, dont vous n'aviez pas fait le nécessaire pour que je puisse percevoir mes indemnités journalières ; et d'autre part par le biais d'une lettre recommandée réceptionnée le 08 septembre 2012, précisant que j'étais sans nouvelles de votre part suite à ma mise en disponibilité, et que dans l'attente de la procédure de licenciement, vous devez me payer le salaire du mois d'août ;
Ainsi votre courrier ne répondant pas à mes précédentes demande, j'inciste pour que vous vous expliquiez.
Afin que les choses soit clair je tiens aussi à vous faire part noir sur blanc de plusieurs faits dont vous avez connaissance puisque vous en êtes à l'origine, et dont nous avons eu précédemment l'occasion de nous entretenir verbalement ;
A la suite mon arrêt de travail du 1er au 7 juin, aillant conduit a mon hospitalisation, vous m'avez demandé de démissionner. Face a mon refus vous avez exercée des pressions, tel que des menaces (faire appel au chien si je reste), propos injurieux ( je cite « tiens, tu n'est toujours pas morte ?...Dommage »), sans parler des conditions de travail désagreables ; allant jusqu'à ne pas remplir vos devoir d'employeur concernant les arrêts de travails, puisque j'ai dû