L’amour d’intéresser d’Elzéard Bouffier

La première fois que nous l'avons vu, il était une mystérieuse silhouette noire dans une énorme vallée désolée. C’était une difficile tâche de trouver et former une identité pour lui, car il n’avait pas de voix. La seule voix qu’on pouvait entendre était une voix d’un homme anonyme. Au moment qu’il était dans sa chambre et son profil est demi-incliné sur le bord de la fenêtre on pouvait voir ses épaules rétrécies qui donnait l’impression à la disparition de sa jeunesse. Avec le rayon de lumière de l'extérieur qui s'allume son corps il a fait l'allusion qu’il y avait une fatigue physique qui pèse sur lui. Ce même rayon a illuminé le gris dans ses cheveux et la profondeur de ses rides. C’était sûr qu’il avait beaucoup de souffert dans sa vie. La douleur dans son visage a été causée par la perte énorme de son fils et mari.

Sa nature était apparente avec sa compagnie. Il était un homme qui menait une vie solitaire avec seulement la compagnie de son chien et de ses brebis. Cela m’a indiquée qu’il a un sincère respect pour le monde naturel — qu’il voyait que chaque créature vivante comme étant son égal. C’est certain qu’il a trouvé un degré tranquillité dans son isolation. Son caractère masculin apparaissait dans ses tendances de cacher ses émotions dans un travail intensif. Peut-être, l’action de restaurer le paysage en ruines de la vallée abandonnée était son moyen de réparer son âme.

Il était responsable pour un rétablissement complet dans la paie et la beauté d’une vallée sans chercher de récompenses. Il a gardé toujours des graines avec lui depuis son premier jour de plantation. Cette belle graine a symbolisé la renaissance d'une terre et la rétablissement de son cœur. Cette petite réminiscence était assez d'inspiration et force pour lui de continuer son généreux geste de restaurer la terre.

Son voyage pour la paix émotionnelle et naturelle est inoubliable, car il a donné une terre mourante une deuxième chance