Platon, éthique et politique
Compte-rendu critique
PLATON, Le politique
Résumé du texte :
Le texte fait la description du roi et du politique. Pour diriger l’État le roi doit être une personne modérée et fougueuse. L’entrecroisement royal par le principe de la vertu. La vertu étant composée du courage et de la tempérance, toute deux opposées l’une à l’autre. Il existe donc les gens modérés. Ils ont une vie tranquille, un peu nonchalante.
Puis, il y a les gens courageux, fougueux. Ils vont à la guerre, met la patrie en ruine et peut la rendre esclave de ses ennemis. Malgré leur opposition, ces deux groupes doivent être assemblés. Mais cette science d’assemblage doit-elle rejeter les éléments défaillants de ces deux parties pour les faire entrer dans une réalité unique? Avec la métaphore du tissage, l’étranger dans le texte explique que 2 tendances opposées doivent être entrecroisées. On assemble d’abord la partie éternelle de l’âme avec un lien divin puis, la partie animale avec un lien humain. On veut créer l’homme politique, le bon législateur et le seul à détenir le pouvoir. Mais il n’y d’entrelacement stable. Les gens font souvent l’erreur de vouloir unir deux parties semblables par les liens du mariage lorsqu’ils devraient faire le contraire. Faire l’union de gens fougueux peut vraiment dégénérer tandis que faire l’union de gens modéré peut devenir estropier. Par contre, les deux groupes doivent avoir la même opinion sur le bien et le mal pour pouvoir s’unir. Donc, le tissage royal est en fait de ne pas séparer le modéré du fougueux. Le dirigeant doit avoir ces deux parties à l’intérieur de lui-même.
Aussi, Platon croit que le peuple ne devrait se conformer aux lois des dirigeants puisque ceux-ci ont le savoir. Ceux qui ont l’autorité détiennent la raison. Le peuple ne la détient pas puisque son désir de jouissance est trop puissant. La raison