Plaidoirie sur l'argumentation
Chers élèves chers professeur,
Chers citoyens français
Citoyens français qui ont pour valeur, qui sont censé avoir pour valeur la liberté ,l’égalité ainsi que la fraternité dont en découle : la morale , le civisme et la solidarité , je l’honneur de m’adresse à vous aujourd’hui. La solidarité mot d’ordre d’aujourd’hui et de toujours d’ailleurs mais surtout aujourd’hui car nous sommes de crises , oui, les prix des achats de premières nécessité ont considérablement augmentés , …afficher plus de contenu…
Avant toutes choses permettez- moi d’avancer , que tous ici présent , non pas en votre qualité d’élèves , non pas en votre qualité de professeur mais en celle de citoyens français vous avez eu le choix , vous avez eu le choix de ne pas vous faire vacciné sans répercussions sur votre travail etvotre salaire , vous avez le choix de le faire sans répercussions encore une fois sur votre travail et votre salaire en tant que (je le répète) citoyens français.Ces soignants ne sont-ils pas citoyens de cet
Etat ? Ils le sont.Ils le sont et pourtant ils ne l’ont pas eu. Ils le sont et pourtant cette liberté de choisir ils ne l’ont pas eu , cette égaité fasse aux chois ils ne l’ont pas eu .
J’aimerai vous lire un court extrait du témoignage de Fabienne Bertrand , soignante ayant …afficher plus de contenu…
»
C’est donc cette solidarité que l’état prône.
Alors j’entends déjà vos remarques : « un soignant non-vacciné peut facilement attraper le covid et par conséquent le transmettre aux patients » , « l’hôpital est fait pour se soigner et non pour tomber malade »ou encore « le covid est mortel »
Je les entends , mais dans un premier temps il a été démontre par de nombreux exemple que même étant vacciné on peut attraper le Covid et le transmettre . De plus certes l’hôpital est fait pour se soigner mais actuellement , ils ne sont pas aptes à le faire, ils ont besoin de personnel soignants qu’ils n’ont pas (cette suspension massives ayant drastiquement réduit les quotas) nous sommes alors en plein désert médical en France prenons