Philosophie
IP 1: Dans un récit fantastique, la plupart du temps, la météorologie de l'histoire est sombre, pluvieuse, etc. Dans le récit Véra, plusieurs indices nous montrent que la météo est conforme avec cette norme.
IS 1.1: D'habitude, quand il y a un scène dramatique dans un récit fantastique, cela se passe habituellement durant la nuit. Cette dernière intensifie l'émotion de terreur et de substance quand l'auteur raconte le meurtre de sa femme Véra. L'auteur utilise un procédé de comparaison pour nous faire visualiser la scène d'horreur qu'il est en train de nous décrire.
Preuve textuelle: «La nuit dernière, sa bien-aimée s'était évanouie en des joies si profondes [...] ses lèvres s'étaient brusquement mouillées d'une pourpre mortelle [...] puis ses longs cils, comme des voiles de deuil, s'étaient abaissés sur la belle nuit de ses yeux.» (lignes 24 à 31)
IS 1.2: À la fin du récit, quand Véra finalement réapparaît à D'Athol, l'auteur nous précise que la scène se déroule durant la nuit. Dans les récits fantastiques, la nuit est une technique pour nous dissuader et nous faire penser qu'il y a une chance que le personnage hallucine ou ses perceptions sont dérangés.
Preuve textuelle: «Ce soir l'opale brillait comme si elle venait d'être quittée et comme si le magnétisme exquis de la belle morte la pénétrait encore.» (lignes 250 à 252)
IP 2: Dans le récit fantastique, il y a un rencontre avec l'explicable et l'inexplicable dans le monde qu'on vit.
IS 2.1 Après la mort de sa femme, le compte D'Athol commence à expérimenter des phénomènes inexplicables. Mais selon lui, il n'ait pas sûr si les phénomènes qui est témoin sont réels ou pas.
Preuve textuelle: «Et des phénomènes singuliers se passaient maintenant, où il devenait difficile de distinguer le point où l'imaginaire et le réel étaient identiques.» (lignes 198 à 200)
IS 2.2: L'amour D'Athol était