Noms : Rouba Radwan, Jessica Trieu Sonia Esther Mendomo, Alyssa Fédé 15 juin 2023Cours 6 le cours de philosophieDeuxième atelier1. En partant de l’affirmation de Socrate : » cela étant, ce n’est pas moi, comme on pourrait le croire, que je défends en ce moment ; tant s’en faut. C’est vous que je défends, car je crain qu’en me condamnant vous ne vous rendiez coupables de mésestimer ce que la divinité vous a donné » (apologie de Socrate, p.44), répondez aux questions suivantes :Est-ce que Socrate …afficher plus de contenu…

« Non, citoyens, vous ne trouverez pas facilement quelqu'un comme moi ; et par conséquent, si vous m'en croyez, vous me garderez précieusement. »Certains pourraient considérer cette approche comme arrogante, car Socrate semblait remettre en cause l'autorité et les connaissances des autres. Cependant, Socrate prétendait ne pas posséder de sagesse ou de connaissances supérieures, mais plutôt chercher la vérité en collaborant avec les autres. Puisque les citoyens sont sur le point de condamner Socrate, il espère que les Dieux prendront «souci» d’eux et qu’ils enverraient un être aussi important que lui comme « suppléant» en guise pitié comme pour remédier à un manque, son absence serait perçue comme un défaut, une insuffisance. Il se considère comme un don des Dieux lorsqu’il soutient qu’il est bel et bien un homme donné à la ville par la divinité. Le rôle de Socrate était d'éduquer les citoyens de la cité. Son but était de susciter la réflexion chez les habitants d'Athènes …afficher plus de contenu…

[…] » Il recherche la vérité avec sa manière de se questionner et dialoguer afin de comprendre l'existence de l'homme et de trouver les moyens de vivre de manière juste et équitable. Cela vise à orienter les hommes vers le bien et de chercher l’esprit moral en leur donnant la méthode, mais sans leur donner de réponses. Socrate dit qu'il n'a jamais eu un seul disciple. Sa déclaration nous explique qu'il considère tous ceux qui l'écoutent dans l'agora comme ses disciples. Puisque l'Agora est un lieu public, Socrate considère donc que tout le monde peut être son