Philosophie sur l'amour
Il y a l’amour parental, celui qui instinctivement (par défaut), procurera obéissance et respect des parents.
Il y a l’amour pour la passion d’un hobby, par exemple, l’amour de la musique. Celui-là donc qui vous fera un jour acheter un CD, ou bien un instrument, que vous soyez doué ou non.
Puis vient l’Amour, celui qui prend sa majuscule au début, celui qui vous coutera surement le plus, tant sur le porte-monnaie que sur le plan humain.
C’est bien de celui-ci que cet essai philosophique et analytique traitera. L’auteur, un tantinet nostalgique ou mélodramatique, écrira surement ces lignes sur le coup d’une très forte émotion, un d’un évènement majeur peut rassurant.
L’Amour est réputé par la communauté scientifique et philosophique comme le sentiment le moins rationnel de l’être humain. En effet, couramment porté sur des éléments peu ou pas objectifs, sans réelle valeur, ils seront pourtant tout de suite remarqués et imprimés avec ferveur par les individus. Ainsi, les qualités, ou les petits défauts des tous débuts, deviendront à la fin, défauts insupportables, reproches permanant, conduisant à disputes et de plus en plus souvent, séparations.
Le commun des mortels, ou, 90% de la population mondial se verra confirmer ces faits. Il peut aussi dans de rares cas y avoir, ceux qui voient les défauts gênants immédiatement et feront avec ou tenteront de les corriger. Et nous avons dans des cas encore beaucoup plus rare