Philosophie plan
peut on tout dire avec humour ?
Le but c'est d'obtenir plutôt (en schématisant grossièrement) :
I. A priori c'est bien. Voici des arguments. Et d'autres.
Ibis. tiens, il y a quelque chose qui ne va pas, essayons de fouiller pour voir.
II. en fait, en fouillant, ça parait pas si bien, voici quelques arguments qui montrent qu'il y a un problème de toute évidence
IIbis. peut-on dire que c'est "non" ? par vraiment non plus
III. Il faut penser autrement, voici une solution qui semble convenir. En s'appuiant sur mes arguments d'avant, on voit bien que ça fonctionne.
Le but est d'évoluer constamment et à la fin de sublimer la question. L'erreur serait de faire I et II presque indépendante et sans suite pour finir par un III qui dit "pt'être bien qu'oui, ptetre bien qu'non".
Faut arrêter le délire, le plan thèse, antithèse, synthèse est tout ce qui a de plus banal, et c'est considéré comme le meilleur plan quand il est réussi. Je suis en fac de philo, et tout le monde utilise ce plan. En term pareil,on nous incitait à le faire.
Le truc c'est de comprendre que c'est pas, comme bud l'a dit : je dis un truc dans le premier point, puis le contraire, puis un peu des deux. Prend comme fil directeur, une progression globale de ta réflexion. Dans le premier point t'avance des idées en faveur de la thèse, et en même temps tu en montres les limites. Dans le second point tu utilises les limites dégagées au dessus, ce qui cloche, pour proposer une autre manière de répondre au problème, opposée à l'autre. Dans la troisième partie, il ne s'agit pas de prendre un peu des deux, mais voir ce que tu peux tirer de tes condidérations précédentes. Bon avec A ça cloche. Avec B, cela semble résoudre les probs de A, mais on tombe sur d'autre prob. Des limites de chaque alternative, qu'est-ce que je peux conclure ?
revois ta rédaction pour les premières phrases, là tu réponds dès la