Philosophie disseration
Sujet : « Faut-il préférer le bonheur à la vérité »
Dans la phrase, « faut-il préférer », dès le début de cette phrase, une incompréhension se profile devant nous. Effectivement, « faut-il » est déclaré de la sorte que le sujet doit être traduit par un choix qui nous est imposé, c'est-à-dire une obligation. D’autre part, le mot préférer suit ce début de phrase, la définition de préférer : c’est aimer mieux quelque chose qu’une autre, donc on nous demande un avis par rapport à notre préférence. En rassemblant ces deux terme, ici, entre une obligation et une préférence, nous nous retrouvons face à une opposition. De plus, dans ce choix il y a la présence du mot vérité, cette interrogation nous demande si il faut préférer la vérité, mais la vérité n’est pas un objet de préférence, nous sommes une fois encore face à une deuxième oppositions. Le bonheur est un état durable de plénitude et de satisfaction. Donc le bonheur est une suite de plaisir, répété. La vérité (du latin veritas) est la qualité de ce qui est vrai, car la on parle ici de recherche de vérité.
Pour résumé, le bonheur et la vérité sont tous deux une recherche de l’homme grâce à l’expérience, mais pouvons-nous vraiment parler de cette opposition entres la vérité et le bonheur sachant que le bonheur peut être soumis à la connaissance de la vérité vrai, mais la vérité relève-t-elle du bonheur de chacun. Cette opposition ne peut exister sans contradiction.
Ce sentiment de plénitude caractérisé par le bonheur, mais le bonheur « heureux » signifie que nous éviterions les peines, ces peines qui pourraient aussi être due à la connaissance de la vérité. Si nous parlions de ce sentiment de bonheur, le bonheur c’est une suite de plaisir répétés, alors que penser du fait de cette répétition, nous rend t-il toujours heureux ou alors à l’inverse elle pourrait donné