Paul verlaine
I- Une enfance sans nuages
Né à Metz, Paul Verlaine est le fils unique de bourgeois aisés. Son père, officié, est issu d'une famille très catholique. Même si sa foi est faible, le faite d’être dans une atmosphère religieuse, en faira plus tard dans sa vie un adepte. Il grandit entouré de l'amour de ses parents et de sa cousine Elisa Moncomble, qui succombent à chaque fois à ses caprices. Seulement, Elisa ne répond pas à l’amour qu’éprouve Verlaine envers elle, mais elle l'aida bien à publier ses Poèmes saturniens(1866), son premier recueil, de façon matériel. Plus tard, il découvre ses attirances homosexuelles avec Arthur Rimbaud. II- Les débuts poétiques
Depuis ses années de lycée, il admire Edgar Poe et écrit des poèmes. Dès 1865 il fréquente des poètes tels que Théodore de Banville et François Coppée et déclare son admiration pour Charles Baudelaire dans la revue l'Art. La mort d'Elisa, alors qu'il a vingt-trois ans, lui porte un coup très rude et renforce son penchant pour l'alcool.
La poésie parnassienne à eu une influence sur Verlaine, on peut le voir dans Les Poème saturniens. Aussi, Verlaine fait preuve d’originalité personnelle associant aux vers des syllabes impaires, une versification moins riche, plus libre que celle pratiquée depuis lors, qui est plus conventionnelle.
III- De ses fiançailles à la rencontre de Verlaine
En 1869, Verlaine tombe amoureux de Mathilde Mauté, jeune bourgeoise de seize ans, qui elle est éprise de poésie. D’ailleurs, sous la Bonne Chanson, il énonce son amour pour celle-ci et l’avre de paix qui lui est promise. Leur mariage est ainsi célébré en 1870. Leur bonheur est de courte durée, en effet, en 1871, Verlaine quitte sa femme et s’enfuit en Angleterre ainsi qu’en Belgique avec un jeune inconnu, à la suite d’une lettre qui lui est envoyé par cette adolescent, où il lui dit qu’il admire sa poésie : C’est Rimbaud. Verlaine est aussi impressionnée par l’œuvre de Ribaud qu’il succombe