Pater noster. prévert. analyse de texte
Le champ lexical du monde : New-York, Paris, l’Ourcq, la muraille de Chine, Morlaix, Cambrai, océan Pacifique, Tuileries, monde et terre.
Le champ lexical du bien : Merveilles, bon, émerveillé, joli, fille.
Le champ lexical du mal : Mauvais, épouvantale malheur, tortionnaires, mâitres, prêtres, traîtres, reîtres, vieux con, paille de la misère, pourrisant dans l’acier des canons
Prévert est un auteur qui a une vision très manichéenne. Pour lui, il existe le bien ( les enfants, les animaux, les femmes, les amoureux etc…) et le mal ( oppreusseurs, prêtres, policiers etc.. )
On constate une grande répétition du mot « monde « car il nous parle de ses merveilles.
On peut séparer ce texte en 4 parties. La première, qui englobe uniquement les deux premières lignes de ce poèmes.
Nous pouvons l’appeler Faux départ car dès le début il nous montre qu’il se moque de Dieu et de la religion catholique.
La deuxième partie que l’on pourrait nommer « la beauté des lieux sur terre « commence au vers « et nous nous resterons sur la terre « et se termine au vers « et ses deux bassins aux tuileries «
Dans cette seconde partie, il fait l’éloge des merveilles sur terre mais cependant il tempère ses propos avec « quelque fois si jolie « .
Cette répétitions de ville est assimilée au mystère.
On remarque qu’il ne parle jamais d’église ou de monuments religieux dans ce poème.
Au 12ième vers, il se réfère a l’ocean pacifique, cet océan exotique presque paën de par sa positiion géographique. Certainement assimilé au mystère et a l’incoonu.
Dans cette partie, le poète exprime son idée que l’homme invente et construits sans aide divine. Cela se retrouve au debut du poème avec l’énumération des villes et des merveilles qui sont nullement religieuses.
On constate dans sa descpition qu’il oppose chaque fois deux merveilles francaise à une merveille « exotique «
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