Partie Mohamed
Pour nous relancer sur notre nouveau projet nous avons dû identifier clairement les erreurs commises dans notre projet initial pour ne pas commettre les mêmes fautes de gestion.
Tout d’abord, nous n’avons pas su obtenir le lieu pour réaliser notre projet du fait de la complexité de notre projet. Au départ, nous voulions que l’évènement se déroule au sein du campus de l’université d’Orsay qui dispose d’un grand espace vert. Nous souhaitions nous appuyer sur la bonne relation qu’à l’IUT de Sceaux avec cet établissement. Malheureusement, nous n’avons pas eu de retour de leur part et ceci malgré l’appui de Madame Mauvieux chargé du service de communication qui nous a aidés à rédiger notre mail et à transmettre notre demande. Malgré des relances, nous n’avons pas obtenus de résultats.
Après cet échec, nous avons dû rompre tout contact avec les entreprises avec qui on avait pris contact pour financer notre projet en particulier pour la promotion et la satisfaction des besoins des participants du jogging. Rompre le lien qu’on avait les entreprises fut un choix difficiles car on sait que sans financement ou sans l’appui d’acteurs important aucun projet n’est réalisable.
Sous pression, nous avons décidé de contacter Monsieur Ester (chargé des sports à l’IUT) pour trouver des solutions puisque nous étions dans l’impasse. Monsieur Ester nous a explicitement dit que notre projet était irréalisable puisque pour une bonne réalisation de notre projet, les tâches devaient s’étaler sur une période supérieur à six mois. Nous devions avoir un encadrement exemplaire à proposer à nos participants c’est-à-dire assurer la sécurité pour tous, des conditions idéales (ravitaillements en eau, animations…). Selon Monsieur Ester, au minimum deux ans sont nécessaires pour respecter ces formalités. De plus, la date que nous avions décidée pour l’évènement correspondait à la période semi-marathon de Paris.
Dans l’urgence, Monsieur Ester nous