Parodie
Le récit raconte les aventures ou plutôt les mésaventures d'un jeune homme talentueux à l'entourage néfaste. Ce jour là le jeune Rachid se baladait dans les rues de Venise, la déplaisante ville des amoureux.
Les cheminées fumantes enveloppaient tout le quartier d'une espèce de fumée grisâtre a l'odeur nauséabonde. Celles-ci firent tousser Rachid qui agacé de ces odeur putrides marchait de plus en plus vite, gagné par l'excitation de faire connaissance avec sa dulcinée rencontrée sur internet . Il leva la tête, rêveur, et observa les nuages imaginent ainsi avec fascination le corps et le visage de cette fameuse '' Lolladu38 ''. Sans trop savoir comment, il se retrouva soudainement devant sa porte. Il frappa énergiquement. Des pas se firent entendre, et une voix à la fois douce et tremblante résonnait a l'intérieur : - Qui est là ? - C'est Bibi ! Répondit celui-ci. - Je ne connais aucun Bibi ! Dit-elle d'une voix haletante. Il y eut un long silence.- C'est toi, Lolladu38 ? Fit Rachid. La porte s'ouvrit soudain : - Mais oui c'est moi, mon Bibi. Appelle moi Caroline, Caro pour les intimes ! Il allait protester, mais elle ne lui en laissa pas le temps : - Entre, met toi a ton aise je m'absente quelques instants, dit-elle angoissé.
Rachid pénétra dans la vaste salle à manger avant de se laisser tomber sur un fauteuil moelleux au centre de la pièce juste en dessous d'un majestueux lustre ornée de paillettes d'or. Au retour de Caroline après un bref instant d'hésitation il la dévora du regard en pensant à ce qu'il allait manger au petit déjeuner le lendemain. Celle-ci était ronde de forme, le cheveux noire, gras et luisant à la lumière du jour, les yeux d'un marron aussi sombre qu'un marron et une grosse verrue sur sa joue droit a mi-distance entre son œil et son nez. Lui tremblait presque autant d'émotion que de peur, mais un peu plus de peur quand même. Elle se tenait debout près de lui habiller d'une robe rouge de