page 106 de het mes van milosh
« Tu ne peux pas rester ici » trouvais Kenny. « ou est ce que tu vas dormir ? » Milosh a attiré l’attention sur un rouleau de laine de verre (ou un rouleau de verre de laine ?) dans le coin le plus éloigné de la cabane. Une vieille couverture . Une toile usée. Sa bouche était trop pleine pour pouvoir parler.
« Si tu veux, tu peux dormir chez moi ( a ma maison ) », offrit Kenny. Ma mère trouve ca tres bien . Et si elle geint… Il n’a pas terminé sa phrase. C a n’en valait pas non plus la peine. Si sa mere geignait, il devrait aller lui casser les oreilles encore plus fermement et alors il obtiendra qiand meme ce qu’il veut.
« Les flics sont surement chez toi », balancaMilosh. « C’est mieux que je reste ici une nuit. Demain… » « Tes parents doivent te chercher » , dit Lars. « Bah. Laisse les. Ils ne viennent pas encore regarder ici. » La cabane se trouvait tout a fait a l’arriere d’une maison abandonnée La demeure était vide tous les mois. Personne n’est venu tout le long, sauf les chats sauvages, comme l’était maintenant Milosh. « De qui est le gsm ? » demanda Kenny. « D’une femme. Elle l’a laisser bloquer. Tu dois m’en fournir un nouveau. »
« Peters et Veneman n’ont pas encore payé . » « Dis leur que la police ne sait pas encore qu’on travaille pour eux. S’ils ne me donnent pas de gsm je vais tout trahir. » Alors ils te mettront de coté », dit Lars. « ou alors tu as oublié comme ils t’ont maltraité ? » Milosh chercha instinctivement son œil abimé . « Ils ne doivent pas me trouver », affirma t il solidement. « Je vais te fournir un gsm » promis Kenny. « Un avec une camera et de la musique » « Je vais le demander. »
Milosh a mordu la pain si avidemment qu’un peu de mayonnaise est tombé sur le sol. Les garcons ont ri.