Oraison funèbres de bossuet
Bossuet ajoute à l'oraison funèbre d'Henriette d'Angleterre ses sentiments personnels : « qui de nous ne se sentit frappé à ce coup … » ici Bossuet dit qu'il c'est sentit frappé par l'annonce de la mort de la défunte, Henriette. Il ressent un profond sentiment pour Henriette car il s'ajoute aux personnes offensées de ce malheur « on voit la douleur …» Bossuet dit «on» donc la mort d'Henriette le concerne aussi bien que le roi ou n'importe quel proche d'Henriette.
Bossuet est offensé, triste, mais il n'est pas le seul, le peuple, les princes, le roi et bien d'autres, se sentent triste de la mort d'Henriette, car dans l'oraison funèbre il parle pour tout le monde, il utilise le pronom personnels «on» ce qui veut dire d'autres personnes et lui, le peuple est donc triste de la mort d'Henriette car Bossuet dit «Partout on entend des cris; partout on voit la douleur et le désespoir, et l'image de la mort.» ça veut dire que tout le monde est concerné et ne parle que de ça, ils voient la mort partout, ce malheur les a marqués.
Le monde et l'auteur sont donc marqués de ce malheur. Ce qui nous ramène donc à la deuxième partie, comment Bossuet exprime la perte d'une grande femme.
Bossuet exprime le perte d'une grande femme en utilisant des métaphores, des répétitions : « Le matin, elle fleurissait, … le soir nous la vîmes séchée » c'est une métaphore de la