opposition sociologie/histoire
A) un socle épistémologique commun.
Une reconnaissance commune des spécificités des objets des sciences humaines :
non reproductibilité des situations historique pas de logique expérimentale
des objets qui pensent
Le réel qu’étudie le chercheurs en science humaine comportent deux couches, une couche de comportement objectif, et une couche subjective (ex : opinion). comment connaître ces pensées ? comment ces pensées modifient-elles les actions ?
B) des modes de faire contrastés
3 principaux couples d’oppositions :
1) une différence d’objet
L’objet de l’histoire serait du temps révolu alors que celui de la sociologie serait plutôt le présent.
Cette distinction entre passé/ présent amène a une certaines distinction dans les méthodes.
L’historien s’appuiera sur des archives etc.
2) une différence d’objectif
.La description historique :
Les objets historiques sont radicalement singuliers
Le travail de l’historien est essentiellement un travail de descriptions.
reconstituer les faits « comme cela était effectivement »
VS :
La remontée en généralité sociologique.
Il est important de comparer les situations historiques pour établir des causalités.
Ex : Comment se fait il que le capitalisme s’est développé en Europe et non en chine ? (Weber).
La science à besoin de remonter en généralités. un travail plus abstrait et théorique en sociologie.
Il est quand même assez rare que les historien reconnaisse la nécessité d’appeler a des concept abstrait et théorique
3) une conception de la causalité différente.
La statique sociologique : mettre au jour un système d’interdépendances stable entre des variables (comment se maintient une situation ?)
VS.
La dynamique historique : une approche causale génétique (comment survient une situation). importance : - du récit.
De la chronologie
Même si du coup les deux disciplines abordent un socle épistémologique commun la méthode