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Mais dès le XIX éme siècle, on observe que certaines femmes hospitalisées pendant leur grossesse n'ont pas conscience d'être enceinte. Mais on parle alors plus de « dissimulation » que de déni. Comme avec le célèbre cas de Catherine Ozanne de Meulan en 1973, elle reçu la peine de mort pour son déni de grossesse qui à l'époque était vue comme un mensonge (Une fille perdue – Marcel Lachiver).
Les risques pour la mère
• Aucune donée, âge, niveau d’étude, niveau intellectuel n’a de lien direct avec le risque de déni. Il peut concerner toutes les femmes ayant déjà eût un enfant ou non.
• Le déni de grossesse est dut à detecter car le corps ne présente aucun signe caractéristique de grossesse.
- Pas de ventre qui s’arrondit, ni de prise de poids
- Pas de changements notables de l’humeur
- Pas de nausées
- Pas d’arrêt des règles, certaines femmes continu même à prendre la pillule. Comme par exemple, la chanteuse Shérifa Luna victime d’un déni de grossesse partiel raconte dans son autobiographie qu’elle n’a ressentit aucun signe de la grossesse (« T'étais Déjà Là Mon Fils, Mais... » - Histoire D'un Déni De Grossesse).
- Le bébé ne donne également aucun signe de présence.
• L’entourage et même parfois le corp médical peut également ne rien perçevoir. En revanche, il arrive qu’une personne extérieure de l’entourage de la femme peut s’en rendre compte.
• Lorsque la femme à subit un déni de grossesse, elle ressent beaucoup de souffrances psychologiques.
- Un sentiment d’incompréhension de soi : elle peut avoir l’impression que son corps est indépendant de sa volonté.
- Un sentiment de culpabilité : elle s’en veut de ne pas avoir assumé ce bébé et donc de ne pas lui avoir donné tout l’amour nécéssaire.
- Une souffrance liée à l’annonce de cette grossesse aux proches ou à l’employeur. La femme peut avoir peur