objet
Mais cette société d’opulence, nous rend-elle vraiment heureux ?
Afin de répondre au mieux à notre problématique, nous appuierons notre réflexion sur différentes œuvres.
Dans un pamphlet intitulé Comment les riches détruisent la planète parut en 2007 Hervé Kempf en s’appuyant sur la théorie de Vleben dénonce la surconsommation à outrance.
Marie Piquemal nous invite à un acte militant en renonçant au superflu dans un article de Libération « Ils ont décidé de vivre avec 100 objets » en 2010
Cette invitation est renouvelée par la photographie prise par Wardha de la chambre de Ghandi dans son ashram à Sevagram
Zola tant quant à lui se moque dans un roman éponyme d’une courtisane Nana qui à accéder au luxe mais dont les gouts trahissent sa condition passée.
Tout d’abord on peut souligner que la consommation s’est généralisée et que pour se distinguer l’homme consomme de plus en plus, cela engendre des conséquences économique sociale et écologique sur la société, il est donc important d’envisager des solutions.
L’homme pour se distinguer consomme de plus en plus. L’élite collectionne, amoncèlent les objets.
Kempf nous le dit trop les riches n’utilisent plus leurs argents de façon caché comme au temps de l’austère bourgeoisie aujourd’hui ils nourrissent au contraire une consommation outrancière d’un fatras clinquant de dilapidation somptuaire.
Il utilise le champ lexical de la production et de l’accroissement pour appuyer son idée. Il ajoute l’idée selon laquelle les sociétés produisent généralement une quantité de richesses bien supérieure à la satisfaction de ces besoins pour permettre à leurs clans de se distinguer les uns des autres.
Nana cette courtisane nouvelle riche se prête volontiers à ce jeu.
Le progrès technique par