Tout d’abord, l’industrie du vêtement au Canada reste méconnue, même sur le continent nord-américain. En 1990, 8,7 milliards de dollars ont été évalué pour le marché intérieur et ce sans compter les 635 millions de dollars par année pour l’exportation. De plus, il a été annoncé comme : «industrie à potentiel élevé». Au Canada, l’industrie du vêtement fait 91 000 emplois pour 2 100 entreprises en 1991. Il s’agit d’employeurs non gouvernementaux du Canada et se situe principalement dans deux grandes régions : Montréal et Toronto. Depuis quelques années, les manufacturiers de vêtements choisissent de s’établir dans des zones urbaines afin de pouvoir bénéficier de main-d’œuvre moins exigeante monétairement. Depuis peu, l’industrie canadienne se doit de revoir leur stratégie due à l’évolution des technologies qui modifient l’environnement d’évolution des entreprises et des conditions économiques et du marché. Chaque année, le salon du prêt-à-porter, le Toronto Ready to Wear, à Toronto se déploie. L’industrie de vêtements féminins est affectée par la concurrence internationale. En particulier, par les pays capables de fabriquer des vêtements à faibles coûts de revient. Ces entreprises à faible coûts de revient peuvent vendre leurs produits moins chers étant donné que le coût de la main d’œuvre est peu élevé et peu spécialisé. Ils produisent essentiellement des vêtements de basse gamme. Les économistes canadiens prévoient que l’Accord du libre-échange nord-américain (ALENA) sera difficile surtout au point de vue de la concurrence. La politique textile américaine encourage l’implantation d’usines de vêtements destinés au marché américain et étrangers, ce qui ajoutera une forte concurrence aux entreprises canadiennes qui devront redoublé d’ardeur. Il est assez aisé de se partir dans ce secteur d’activités, car il prend peut de technologies. Dans ce domaine, ce sont surtout de très petites compagnies composées d’un maximum de 20