Méthodologie de travail universitaire
Introduction
Les cours universitaires s’accommodent d’un certain nombre d’outils méthodologiques qui facilitent l’assimilation et l’acquisition de la connaissance ; ces techniques procèdent en réalité d’un pragmatisme mais surtout d’un cumul d’expériences visant à apporter le soutien nécessaire et indispensable à l’étudiant de sa quête de connaissance dans son ambition de réussir au mieux d’une dissertation ou une recherche scientifique, une rédaction de mémoire ou une production de thèse …
Ces outils méthodologiques qu’on se propose d’étudier résultent en fait d’un long acheminement de collecte de données qualitatives et quantitatives, d’observation et d’analyse.
La recherche scientifique a tiré partie des avancées politiques, économiques et sociales que l’humanité a connues depuis des millénaires, d’ailleurs toutes les investigations entreprises par l’homme versent dans ce sens. Les philosophes, les théologises, les physiciens, les mathématiciens, les économistes, les politiciens, les artistes ou de simples individus, qui au fil du temps ont élaboré et structuré des synthèses de pensées à partir de la constatation fortuite ou de l’étonnement de l’observation dont l’origine peut-être lié soit au hasard soit à une recherche volontaire des liens aux différentes manifestations. A ce propos Pasteur faisait remarquer à juste titre que : « dans les champs d’observation, le hasard ne favorise que les esprits préparés », autrement dit une nette observation sans additifs fictifs entamera la 2ème démarche, celle-ci consiste à collecter et à synthétiser les faits afin de déclencher le développement, de la critique ou de l’autonomie de la pensée qui s’acheminera à son tour au fil des hypothèse émises à l’expérimentation et à la confrontation des résultats des autres recherches dont les déductions aboutiront enfin de compte à l’élaboration de théorie ces dernière, resteront nonobstant relatives à leurs remises en compte.
Il faut