Mondialisation
Fatou Diome, le ventre de l’atlantique.
Thème : La mondialisation
Idée générale : La mondialisation ne considère pas l’humain
Problème posé : Tient-on compte de l’homme dans la mondialisation.
Introduction
Le monde a subi des transformations si imposantes, si profondes que d’aucuns n’hésitent pas à évoquer non seulement un changement d’époque mais même d’ère. Un mot, un seul traduit, explique et justifie à la fois les mutations en cours dans la quasi-totalité des domaines d’activité humaines contemporaines : la mondialisation. Elle incarne tout, elle s’incarne en tout, couvrant de son ombre la totalité de ce que l’on peut appeler l’univers humain : l’économie d’abord, mais aussi la politique, la culture et les arts, la technologie et les sciences, l’écologie...
Mais le constat général est que la mondialisation au lieu de privilégier l’homme, place au centre les biens notamment l’économie.
N’est-ce pas ce qu’a tenté de démontrer Fatou Diome lorsqu’elle déclare que la mondialisation ne considère pas l’humain ?
Tient-on compte de l’homme dans la mondialisation ?
Le monde étant devenu un village planétaire, les échanges entre ses habitants pour le développement devient indispensable. Le constat fait sur les diverses mutations en cours et qui se traduisent par la mondialisation a conduit Fatou DIOME à comparer la tête d’un enfant du tiers monde à un hamburger. Pour Fatou DIOME, la mondialisation n’accorde pas la priorité à la personne humaine mais plutôt aux biens, en d’autres termes, à l’économie. Ce constat est d’autant plus vérifié qu’il convient d’affirmer que la mondialisation place l’économie au centre de toutes préoccupations. En cela, il ne serait pas malaisé de dire sans ambages que la mondialisation favorise le développement durable, la souveraineté alimentaire, la paix, voire la démocratie.
Avec la mondialisation, on a assisté au