mme de stael
Dès le début, Germaine de Staël, se défend des futurs reproches qu’on pourrait faire à son ouvrage : « On m’objectera peut-être aussi, qu’en voulant dompter les passions, je cherche à étouffer le principe des plus belles actions de L’homme, des découvertes sublimes, des sentiments généreux. » Elle fait d’ailleurs un concession et « conviens qu’il y a quelque chose de grand dans la passion ».Cependant, l’homme ne décide plus de ses actes, il est dominé par quelque chose de plus « puissant » que lui : ses passions. Celle-ci impulsent ses actes et lui transmettent une « force active ».
La passion d’ailleurs à travers le peuple peut renverser le monde par sa furie, Germaine de Staël consacre d’ailleurs quelques paragraphes dans son livre sur l’impossibilité de diriger une révolution, que les meneurs ne sont que les premiers de la file et qu’ils sont poussé par la passion de ceux derrière lui. Elle compare la passion avec les jeux du cirque qui sont un besoin pour les hommes non passionné, (« infortunés » ) ( je ne suis pas très sur d’avoir compris ce passage du texte ) , ces jeux sont cruels , « affreux » et ils « enflamment ».La passion, par ailleurs, détruit « tout ce qu’il faut de mouvement à la vie sociale et tout élan nécessaire à la vertu »
II) ...et avec lesquelles ont ne peut pas faire de compromis
Elle retranscrit par cette phrase une idée générale qu’on peut se faire des passions :
«C’est à diriger les passions et non à les vaincre qu’il faut consacrer ses efforts ».
Elle désillusionnent tout de suite le lecteur il n’existe que deux types d’état ou on est contrôlé par les passions, ou elle n’existe pas, il n’existe pas d’état intermediaire.
Elle gouverne comme « un vrais tyran, sur le trône ou dans les fers » et on en peut la diriger puisque qu’elle « n’existent qu’en dominant ».
La Passion qu’on retrouve ici en échouant à amener l’homme vers le but qu’il s’est fixé, fait