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Dans ce commentaire, nous allons résoudre la problématique suivant : Comment la conception de la vison d’Aristote a été progressivement remise en cause et pourquoi ne peut-elle plus être soutenue avec les connaissances actuelles.
Dans le premier document datant d’entre 384 et 332 avant Jésus Christ, Aristote nous donne sa conception de la vision, il pense que la perception de la couleur d’un objet est du a l’allitération d’une sorte de rayon visuel émis par l’œil qui perdrait de l’intensité au fur et a mesure de son éloignement. Plus l’objet s’éloigne plus il devient noir, la couleur d’un objet dépendrait donc de sa distance par rapport a l’œil.
Ensuite, dans le second document nous avons la conception de la vision par Alhazen, un philosophe arabe, qui date d’entre l’an 965 a l’an 1036, donc bien après celle d’Aristote. Sa vision est donc différente. Alhazen pense que la vision ne provient pas de l’émission de l’œil vers l’objet mais de l’objet vers l’œil, car une trop forte lumière blesse l’œil. Il y a donc deux théories qui s’opposent, celle d’Aristote et celle d’Alhazen, nous savons que celle s’approchant le plus de nos connaissances actuelle et donc de la vérité est celle du philosophe arabe Alhazen.
Tout objet éclairé émet de la lumière dans toutes les directions. Les yeux situés sur le trajet de rayons lumineux issus de l’objet les absorbent : ce ne sont pas des émetteurs mais des récepteurs. Les rayons lumineux se propagent de façon rectiligne dans un milieu homogène et transparent.
Dans le troisième document, Thomas Young pense que la lumière est constituée d’une infinité de radiations, chacune perçue comme une couleur différente et il émet l’hypothèse de la présence de 3 types de récepteur dans la rétine, en 1963 les travaux de Marks confirment la théorie de Young après avoir fait des expériences sur des poissons rouge, il démontre