marché footballistique
II. Les flux financiers indirects
1. Revenus du sponsoring et de la publicité.
Si les revenus de Ligue 1 ont été multipliés par 2,15 durant la période étudiée (2004-2013),
(2004
ce n’est pas le cas des revenus de sponsoring. Entre 2004-05
2004
et 2012-13, les recettes provenant des sponsors et équipementiers ont seulement progressé de 38,8%. Ainsi, les revenus de sponsoring sont passés de 142,7 M€ à 197,9 M€
€ sur la période.
Si globalement, la Ligue 1 a subi les remous de la crise économique de 2008 en matière de sponsoring, les situations sont très différentes suivant les clubs. Lors des quatre saisons s’étalant entre 2009 et 2013, les différents clubs de Ligue 1 ont connu des situations très différentes.
Publicité : Pour les sportifs et notamment les footballeurs, footba , il y a deux moyens de gagner de l’argent.
Le premier consiste à se faire offrir un gros salaire par son club. La deuxième façon est d’enchaîner d’enchaî les contrats publicitaires.
La plupart du temps, ce sont les mêmes joueurs que l’on retrouve en tête de ces deux colonnes de recettes. La plupart du temps, mais pas toujours. D’après le célèbre classement France Football des footballeurs les mieux payés au monde sorti mi-mars, mi on s’est st amusé à trier le Top 5 en le reclassant selon les revenus publicitaires.
Côté marketing, ce n’est plus Lionel Messi le roi des revenus, mais bien David Beckham. Juste derrière le Spice Boy, on retrouve donc Lionel Messi, puis Cristiano Ronaldo. A noter que ce trio de tête est constitué ué des 3 seuls joueurs du Top 5 dont les revenus pub représentent plus de 50% de ce qu’ils gagnent sur une année.
Ricaud Rémi
Scapin Mathias
Revue de presse
BTS SIO
Ainsi le classement donne :
1.
2.
3.
4.
5.
David Beckham - 26M€ (82% de ses revenus globaux, +11,5M€ sur un an)
Lionel Messi - 21M€ (64% de ses revenus globaux, -1M€ sur un an)
Cristiano Ronaldo - 15,5M€ (53% de ses revenus