madame jean
église intervient dans la vie intime des gens avec le regard porté sur le mariage du Biscayen (degré de séparation permettant de s’unir, alors que les nobles et familles royales se mariaient entre cousins), un jugement donc différent entre les aristocrates et les membres du tiers-états.
De plus il y a la Manifestations de l’intolérance vis-à-vis des Portugais, vus comme Juifs (refus de manger du lard, du porc), alors qu’ils se sont convertis.l’ Eglise les juge comme apostats (refusant leur religion catholique). L’Antisémitisme du catholicisme est mis en avant.
Les condamnations de Candide et Pangloss marquent l’obscurantisme de l’Eglise qui refuse de débattre, et condamne les philosophes (que représentent Pangloss et Candide, son élève).
b) La critique de l’inquisition.
▪ tribunal de l’inquisition juge l’hérésie (opinion fausse en matière de foi condamnée par l’Eglise) sans aucun procès : « On avait en conséquence saisi ». la Dérision est utilisée par Voltaire pour tourner au ridicule l’auto-da-fé avec des costumes différents : « flammes renversées », « flammes étaient droites », « ni griffes ni queues », « griffes et queues », montre le côté invraisemblable et chaotique de la décision de l’inquisition.
▪ Enfin, sous-entendu de la torture lors de l’enferment en prison, par la durée de « huit jours ».
▪ Auto-da-fé est utilisé par l’Eglise avant tout pour calmer le peuple « que de donner au peuple », elle est montrée avant tout comme un pouvoir politique, et non spirituel.
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c) Une remise en cause de la superstition.
La fin du passage montre l’inefficacité totale de l’auto-da-fé. La Superstition est tilisé pour essayer de conjurer un phénomène qu’on ne comprend pas à l’époque, origine divine donnée au tremblement de terre, alors qu’elle est naturelle (nous le savons aujourd’hui…)
▪ Voltaire, homme des Lumières se moque des