Macbeth

264 mots 2 pages
•La justice est inhérente à la bonté:
-La bonté est dû à une puissance caractérisé par l'amour de soi. Rousseau a utilisé l'argument de l'arbitre libre-l'Homme a la liberté de choisir le bien et même le mal-pour montrer que Dieu n'est pas responsable des comportements humains fautifs ce qui renforce la bonté de la Providence.
•"Sois juste et tu seras heureux":
-Dieu qui est puissant applique sa bonté et sa justice et ordonne l'Homme d'en être orné sous prétexte qu'elles apportent la joie et le bonheur. Mais on découvre le contraire: le méchant triomphe et le juste pâtit, ce qui crée un déchirement moral et un conflit entre la conscience et Dieu et qui pourraient conduire le juste à pratiquer le mal.
•Revendiquer le trophée après le tiomphe:
-L'Être suprême promet l'Homme le bonheur mais ce dernier exige l'impossible en demmandant la récompense avant le mérite. La logique divine nessecite que le juste soit bienheureux et le méchant malheureux. L'ici-bas viole cette harmonie universelle mais elle va retrouver fatalement l'équilibre naturelle dans l'au-delà. L'Homme bon sera alors délivré du vice et pourra jouir enfin du souvenir de sa vertu passée.
•Théorie des deux matières:
Rousseau présume qu'il existe deux matières qui sont unies mais totalement diférentes,l'une corporelle (le corps) et l'autre spirituelle (l'âme). La destruction du corps ne fait que rompre l'union entre la partie matérielle et immatérielle ce qui redonne à l'âme sa vigueur

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