Louise labé sonnet 18
→ unité
→ interpréter qu'aimer et écrire sont au même niveau en même temps: contraste entre 1 et 2 quatrain: on passe de l' échange (1 quatrain) → fusion amoureuse (2 quatrain)
2 quatrain: question rhétorique: « Las, te plains tu? » de le commande du 1 quatrain vers l'interaction: l' amante veut répondre à la demande de l' amant qui demande encore des baisers: poétesse a de la compassion pour lui, veut mettre fin à sa souffrance:
« ce que ce mal j'apaise » → lui donner encore des baisers, alors plus que dans le 1 quatrain: progression désequilibre entre fe et ho enlevé au vers: avant, la fe donne, l'ho recoit: donner → mélanger les baisers unification devient plus forte avec le mot « ainsi » (comme ouverture / impératif, pour engager l'action) et « l'un de l'autre » (exclut d'autres personnes, un monde que pour les amants) changement dans le 2 quatrain des PP: te → nous
1er tercet: rêve de la fusion amoureuse continue jusqu'à la « folie » aussi le « nous » disparaît: plus de PP → le 1 tercet s'oppose au quatrain
→ rupture entre vers 8 et 9
→ « nous » remplacé par « chacun » (2x)
→ généralisation on ne sait plus exactement si elle parle d'elle-même ou en général de « la fusion amoureuse parfaite » structure des phrases change: verbes sont mis à la fin l'idée de l'âme plié en deux annonce aspect irréel point culmnant du sonnet: vers 11: de l' amour vers la folie: ces 2 mots dans le même vers, comme une perte de la réalité vers la folie, un circonstance dans lequel on n'est plus capable de penser logiquement différentes possibilités de la signification du mot « Amour » (majuscule!)
1) Amour = amant
2) Amour = sentiment amoureux
3) Amour = Dieu cupion Amor m' 1) PP: permets-moi, Amour (Dieu) permets-moi être aimé
2) adjectif possessif: permets à mon amour (au sentiment amoureux) d'imaginer...
→ plus problable à