La vie de Jérôme
Salut je m’appelle Jérôme, j’ai 18 ans et je voudrais bien vous raconter un peu de ma vie.
Si vous etiez déjà à Paris vous connaissez peu-être des jolies endroits comme celui de la tour Eiffel ou de la Seine, avec les boutiques de luxe et les cafés riverins. Mais il y a aussi d’autres quartiers. Quartiers qui ne sont pas si beau que la cité de Paris. Ce sont les banlieues et c’est où je vis.
À cause de la Seconde Guerre Mondiale mes grands parents ont quittés leur pays d’origine, l’Afrique du Nord, comme beaucoup d’autres gens pendant ce temps. La vie était très dure et le gouvernement de Paris a accueilli beaucoup d’imigrants dans les banlieues. Mes grands parents ont attendu un enfant – ma mère Fabienne. Tout était bien, mais en 1970 il y avait une crise économique. Le gouvernement ne s’est pas occupé des imigrants et les habitants étaient sans travail. Les riches avaient quitté les banlieues à cause des révoltes et du trouble qui regnait. Par conséquent les banlieues sont des quartiers ou personne aime vivre. À cause de la pauvreté et du chômage, les habitants des Banlieues sont devenu criminels parce qu’il n’y avait pas assez pour manger.
Je m’en souviens bien... c’était en 2005 quand il y avait beaucoup de trouble. C’était horrible. Une maison près de la notre a brûlée. Je suis revenu chez moi après l’école et j’ai vu qu’une maison était en feu. J’était en panique parce que je ne savais pas que mes parents étaient dans notre maison. J’ai crié leurs noms et, heureusement, entre tous les gens en panique et les révoltés je les ai trouvés. C’était une période horrible.
La vie ici est dure ! La societé ne nous accepte pas, nous Les imigrants! Les barbes !Les fous !Les terroristes !
Un jour j’étais amoureux. Son nom était Geneviève… aaahh c’est de la musique dans mes oreilles. Je l’ai toujours vu après l’école en chemin à la maison. Lorsque nous nous sommes rencontrés - c’était le coup de foudre. Elle m’a donné l’éspoir qu’un jour, nous –