Lettre d'un poilu

292 mots 2 pages

12 janvier 1916
Ma chère maman, De temps que je ne t'ai pas écrit mais ici dans les tranchées mes doigts sont tout engourdis pour le froid. Les conditions de vie pour les soldats tels que moi sont devenues insupportables : nous devons lutter contre la faim, le froid, le sommeil et la peur, peur de mourir à tout moment. L'intérieur des tranchées n'est que sale et boueuse et la nourriture se fait de plus en plus rare. Les rats ont également envahis nos tranchées. Ils sont énormes et Il y a peu, ils ont tué un chien et l'ont mangé. Quand se terminera cette agonie !? Désormais ce que ça qui je me demande tous les jours. J'ai cessé de vivre, d'être humain, maintenant je suis juste un pion dans les mains de nos stratèges. J'espérais que cette guerre, et en effet tous les Français espéraient terminé dans un court laps de temps, mais comme pourries-tu envisager maintenant dure depuis 2 ans. Le fait est que c'est le troisième Noël que je vais passer loin de vous et que plus de la moitié des hommes avec qui je suis parti sont déjà morts ; ils avaient tous des parents, des amis, une famille. Tous les jours , j'espère que quelqu'un vient de nous dire que la guerre est finie et nous pouvons rentrer à la maison. Désormais ça fait longtemps qui j’attends ce jours-là, mais je continue à espérer. Tout mon espoir dans cette lettre de rentrer sain et sauf. Philip

J'espère que la famille va bien. Je vous ai vu que deux fois depuis que est commencé la guerre. J'espère que j'aurais

en relation

Les One Direction : Larry
977 mots | 4 pages

Les larmes me brouillent la vue, mes mains sont crispées sur le volant. Je tremble tellement que j'ai du mal à conduire. Je n'arrive pas à croire ce qu'il vient de se passer, et l'image de sa hanche qui ne quitte pas mon esprit. Mes jambes dérapent sur les pédales, comment peut il se faire ça ? Comment peut il se torturer à ce point ?….

montre plus
Made by zooey
3388 mots | 14 pages

en serait le cas mais il faisait chaud et j'avais l'impression de quelque peu suffoquer. Je continuais malgré tout ma promenade. Tout était calme, jusqu'au moment où j'entendis des voix graves au loin. Je discernais aussi le galop de deux chevaux. En l'espace de quelques minutes je me retrouvais face à deux juments, l'une noire, l'autre grise, montées par deux jeunes hommes l’un portant un chapeau, l’autre, tête nue, avait les cheveux plus clairs.….

montre plus
La famille de Laetitia
695 mots | 3 pages

Elle qui ne s’était jamais plainte ose raconter les angoisses, les doutes, les blessures et cela la libère peu à peu d’un poids terrible. (…) Elle peut aussi parler de ses parents, de sa mère presque trop dévouée, jusqu’à l’étouffer, sans jamais lui dire la vérité, et de son père, plus distant, vécu comme menaçant mais, dans le même temps, garant du bon fonctionnement de la famille. (…) Je découvre aussi l’histoire des deux frères et la façon….

montre plus
Siddharta - hermann hesse - travail de 5ème (belgique)
1217 mots | 5 pages

Siddhartha – Hermann Hesse Résumé : Le jeune, Siddhartha, fils de brahmane vit avec ses parents, en Inde. Enfant prodige, il semble béni des dieux. Intelligent, vif, il est apprécié de tous, surtout de son jeune ami Govinda. Sa destinée le mène inexorablement à devenir prêtre.….

montre plus
Incipit de pierre et jean
505 mots | 3 pages

L’inconnu C’est lorsque Louise n’avait que trois ans qu’elle m’a rencontré. En effet, elle avait un âge où l’on découvre le monde et tout un tas d’autres choses… A la sortie de la maternelle, sa mère avait cette fois oublié de lui apporter son goûter, quelque chose de primordial à ses yeux. Louise et sa maman allèrent donc à la boulangerie où elles avaient l’habitude d’aller. Vous connaissez, cette boulangerie de Senlis ?….

montre plus
Topos fenetre
308 mots | 2 pages

Comme à mon habitude, je me levais aux alentours de dix heures. Attendant la venue de Martine, j’allumais ma radio. On parlait d’une fusillade au Moyen Orient, comme d’habitude. Martine arriva, elle avait les clés depuis que elle m’était indispensable. Elle entra, me sourit, et comme d’habitude, me demanda : - « Alors Monsieur Philipe, comment ça va aujourd’hui ? »….

montre plus
Lettre d'un poilu
703 mots | 3 pages

Lettre d’un poilu Samedi dernier, nous avons retrouvé près de Verdun, la lettre de Victor, un soldat belge. Il décrit l’atrocité de la guerre qu’il est occupé à vivre. Verdun, le 28 novembre 1916 Chers parents, cher frère et sœur, Je profite de ces quelques instants pour vous faire part d’une de mes rudes journées que je subit depuis maintenant deux ans. Soldats morts dans des tranchées Soldats morts dans des tranchées Ce matin c’était le repos total et ce n’était pas trop tôt !….

montre plus
Anglais !
12053 mots | 49 pages

Mon père et ma mère viennent de se séparer, et mon père a décidé d’aller vivre à Londres. Cette nouvelle, à l’époque, m’aurait fait plaisir d’une certaine façon puisque mon meilleur ami y vit. Mais ne parlons pas de lui, il ne compte plus, il ne fait désormais plus partit de ma vie. Il faut croire que les personnes que nous aimons le plus ont le pouvoir d’être également ceux qui vous blesse le plus.….

montre plus
Lettre poilu
581 mots | 3 pages

Nous vivons dans la crasse, les odeurs de cadavres oubliés sur le champ . Nous ne mangeons presque pas hormis le morceau de pain trempé dans la soupe déjà froide qui arrive jusqu'à nous. Pendant le repas, les rats nous tiennent compagnie espérant quelques miettes. Il est toujours aussi difficile de se procurer un morceau de savon pour pouvoir essayer d'enlever la crasse et la vermine qui nous couvrent entièrement. Suite au dernier assaut de la journée, ce samedi 25, nous avons vu un bon camarade tomber sous les balles des allemands près de leur tranchée.….

montre plus
Lettre de poilu
606 mots | 3 pages

Pourquoi cette guerre ? Nous ne sommes pas nés pour mourir avant d'avoir commencé à….

montre plus
Lettre a lucilius
1545 mots | 7 pages

Il mange plus qu'il ne peut contenir, son insatiable avidité surcharge un estomac déjà tout gonflé, qui, déshabitué de son office d'estomac, reçoit à grand'peine ce qu'il va rejeter avec plus de peine encore ; 3. et ces malheureux n'ont pas droit de remuer les lèvres, fût-ce même pour parler. Les verges châtient tout murmure ; les bruits involontaires ne sont pas exceptés des coups, ni tous, ni éternument, ni hoquet ; malheur à qui interrompt le silence par le moindre mot ! ils passent les nuits entières debout, à jeun, lèvres closes. 4.….

montre plus
Segmentation des bijoux
739 mots | 3 pages

J’ai grandi loin des milieux aisés, Avec des parents qui ne parlaient pas un mot français, Des problèmes financiers, Qu'obligeait le daront à rentrer du chantier avec le dos cassé, Pour être sûr de n' plus croisé les huissiers, Pour pouvoir les aider, j’ai taffé au lycée, Car on m’a toujours dit qu’ les diplômes ram'nait un métier, J’ai passé mes soirées à bosser d'arrachepied, Jusqu’au jour où j' réussis mes exam’ avec succès, La fierté d' la famille, j’étais la lueur d’espoir pour enfin leur faire quitter la cité, Mais malgré mon CV, Toutes les portes se fermaient, Ils disaient trop qualifié, Moi j' dirais trop balzané, J' me suis mis à bosser, Agent d’ sécurité, C’était provisoire pour assurer l’arrivée du bébé, Mais les années passaient, Les factures entassaient, J' suis rentré dans une banque cagoulé et j’ai crié.….

montre plus
Francais
517 mots | 3 pages

« Pour dix mille francs de rente, je me ferais bourreau ». Or, il allait chaque année passer quinze jours à Trouville. Il appelait ça "faire sa saison". Il s'installait chez des cousins qui lui prêtaient une chambre, et, du jour de son arrivée au jour du départ, il se promenait sur les planches qui longent la grande place de sable. Il allait d'un pas assuré, les mains dans ses poches ou derrière le dos, toujours vêtu d'amples habits, de gilets clairs et de cravates voyantes, le chapeau sur l'oreille et un cigare d'un sou dans le coin de la bouche.….

montre plus
rapport de stage
1148 mots | 5 pages

Quand j’avais besoin d’aide ou si j’avais un problème, tout le monde était là pour me conseiller et me diriger. Ma journée préférée est celle du jeudi 15 novembre. Cette journée, je l’ai passée avec les 16 plus grands enfants, âgés de 2 ans et plus. A 8h30, les deux puéricultrices me les ont présentés. Certains d’entre eux m’ont mieux acceptée que d’autres, ce qui est tout à fait normal au début, car ils ne me connaissaient pas.….

montre plus
Lalala
566 mots | 3 pages

Un homme qui sert juste à éduquer, mais sans que celui-ci te donne un amour paternel. C'est dommage. Je t'aimais bien papa. Je t'aime, et je t'aimerai surement toute ma vie, mais pas comme un fils aime son père. Tu ne m'as jamais emmener à la pêche comme tous les petits garçons ont eu droit à cela.….

montre plus