Pauline.
Vous vous souvenez peut être pas de moi, mais moi je me souviens très bien de vous, comment vous oublié ?! Comment oublié cette voix si mélodieuse et frémissante, ces yeux pure ? Mon cœur battait à l’annonce de votre nom, je ne puis vous expliqué pourquoi et comment. Lorsque vous étiez sur scène vous m’apparue comme une lueur du jour qui déchire l’entreinte de la nuit, comme la rosée du matin si douce et harmonieuse. A la fin de ce moment d’évasion, je n’étais pas ravie, j’étais troublé ; je n’applaudissais pas, je pleurais. Tous ceci est la grandeur d’un sentiment que nous appelons amour et c’est ce sentiment que j’éprouve pour vous. Lorsque ce sentiment sera réciproque cette folie que je viens d’écrire bien futile et sans aucune saveur face à ce que nous vivrons. Je n’ais jamais ressenti un sentiment aussi fort pour une femme. Jamais je n’aurais put dire tout cela en face de vous, je n’aurais trouvé ni le courage, ni les mots, car vous me troublé. Cette lettre est peut être un-peu brusque et je m’en excuse, vous avez besoins de temps pour savoir si ce sentiment est partagé. J’attendrais le temps qu’il faudra car l’amour prend patience, l’amour ne jalouse pas et je sais que je ne suis pas le seul prétendant à l’amour éternel à votre côté. Mais sachée seulement que sans même le savoir, vous avez envahie mon univers le plus secret, vous avez troublé la quiétude de mon âme à tout jamais ! Oui car depuis cette soirée où nous nous sommes rencontré, je ne pense qu’à vous. Je rêve que vous posiez votre souffle sur ma bouche, que votre âme y vienne passer, que nous restions ainsi dans ma couche jusqu’à l’heure de trépasser !
Vous exprimer mon amour j’en rêvais depuis cette formidable soirée, faire avec vous de merveilleuses promenades et de multiple tours du monde, passer des soirées en tête à tête enlacés et vous comblé de mots d’amour. Tout connaître de vous, tout comprendre et tout partager ensembles. Vous protéger et vous chérir jusqu’à la fin de mes