Les pensées d'un homme sans
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Les pensées d’un homme sans valeur personnelle Sergio Valadez Farbman Après avoir lu le texte L’étranger, il y avait plusieur choses d’intéressant que j’ai remarquées. Tout d’abord, il me semble que même si le narrateur parle comme s’il parlait à quelqu’un d’autre dans le texte, en fait il se parle lui-même. Il s’agit donc de ses pensées. Egalement j’ai remarqué que le narrateur semble avoir vraiment peu d’estime de soi et qu’il dit ne dit presque jamais ce qu’il pense. A première vue, on pourrait dire que le narrateur du texte parlait à quelqu’un d’autre ou peut-être à un lecteur générale, mais en fait c’est à lui-même qu’il parle et le texte est donc ses propres pensée. On voit ceci même dans la première phrase quand il dit « maman » au lieu de dire quelque chose de plus impersonnel comme « ma mère ». En outre, les phrases n’ont pas vraiment de structure et les idées sont incohérente ce qui ressemble beaucoup à des pensées et non pas à un texte adressé à un lecteur spécifique ou générale : « aujourd’hui, maman est morte. Ou peut-être hier, je ne sais pas. J’ai reçu un télégramme de l’asile… » (9). Aussi, le texte est à la première personne et on ne voit que ses propres pensées et ce qu’il voit et écoute. J’ai aussi remarqué que le narrateur ne dit pas très souvent ce qu’il pense et semble donc ne pas avoir beaucoup d’estime de soi. On voit ceci depuis le début quand il voit le télégramme qu’il avait reçu n’indiquait même pas qund sa mère était morte. Cela ne semblait vraiment pas lui plaire, mais en même temps il ne fait rien et il reste tranquille comme si cela n’importait pas du tout. Ensuite on voit quelque chose de similaire dans la conversation avec son patron où après avoir dit « Ce n’est pas de ma faute » quand le patron n’était pas content à cause de ses deux jours de congé, il regrette l’avoir dit et il dit qu’il pense même « je n’aurais pas dû lui dire cela. » (9) De plus, il excuse la mauvaise conduite de son patron qui