Les marchés lorsqu'ils sont en crise
La chine est fort concerné par cette défiance puisqu’en effet leurs ventes sont en baisse, la croissance des importations a ralenti le mois dernier à +5,3 % sur un an à cause de la crise en Europe et aux E U, la Chine est donc en récession (les productions sont aux ralentis) De plus, les clients mettent en place des plans d’austérités et l’économie américaine est hésitante car le chômage reste important, l’immobilier stagne et le coût des matières première augmente.
Dans l’article on parle également de l’Espagne à qui l’on se méfie et l’on hésite à lui prêter d’argent (acheter ses emprunts d’Etat) alors que l’on a une idée assez précise de la dette de l’Etat espagnol mais l’inconnu c’est la dette des différentes régions. Dalleurs le 1er ministre espagnol a menacé les régions de reprendre la gestion de leur finance si elles ne sont pas mises en règle d’ici 15jours.
Les journalistes évoque que « S'assurer contre un défaut de Madrid (défaut payement) coûte plus cher que de se protéger contre une faillite du Liban, et une fois et demie plus que les contrats sur la Roumanie ! »
Ce qui montre bien la preuve de manque de confiance des investisseurs vis-à-vis de l’Espagne.
De plus, aux incertitudes économiques défavorables à la confiance s’ajoute les incertitudes politiques. La France vote en Avril et les Etat Unis entrent en campagne électorale et donc suivant les élus, la confiance reviendra plus ou moins vite. Puis de grosses incertitudes pèsent sur l’Iran par rapport à une guerre éventuelle avec Israël.
En conclusion il faudra être patient pour retrouver la confiance des