Les lumiéres
ien préparer sa prise de parole * Qui sont les auditeurs ? Quel message leur est destiné ? Quels sont les objectifs de la réunion ? Pour quelles actions souhaitées ? Autant de questions auxquelles il est indispensable d'apporter une réponse précise. * Rédiger sans rien apprendre par coeur. Il est nécessaire de fixer sur papier, ou sur écran, un plan de l'intervention découpé en séquences ; introduction, messages clés, développements, synthèse, conclusion pour action. * Pour chaque séquence, le contenu doit être également défini et structuré, mais jamais appris par coeur. Sous l'effet du stress occasionné par la présence du public, le risque du « blanc » est trop fort pour être pris. * Répéter la veille devant un miroir et dans un langage spontané les points clés de l'intervention. Le jour j, ces points joueront le rôle de repères. Si le fond est maîtrisé, le déroulé de l'allocution s'effectuera sans problème. * Préparer une « antisèche ». Sur un carton de la taille d'une moitié de feuille A4, indiquer proprement et très lisiblement les grandes phases de la prise de parole, et les mots-clés qui leur correspondent. Un pense-bête qui permet d'enchaîner avec fluidité les différentes séquences et de ne rien oublier d'essentiel.
Prendre la parole avec efficacité * Poser et contrôler sa voix. Ni trop fort, ni trop faible, la voix doit être sûre. Une manière de stimuler la confiance en soi de l'orateur, et d'induire la confiance de l'auditoire. * Maîtriser le stress. Quelques instants avant la prise de parole, pratiquer des inspirations abdominales profondes, fermer les yeux pour augmenter le recentrage sur soi et la concentration. * Pendant l'allocution, présenter un visage souriant, le corps en avant, les bras et les mains ouvertes, les deux pieds bien campés au sol. Ces postures corporelles affermissent l'orateur. * Soigner le fond et la forme. Un support visuel de mauvaise qualité suffit à