Les différents indicateurs qui permet de mesure la pauvreté sont: - L’indicateurs monétaire, purement quantitative qui peut se fonder soit sur le revenu, soit sur la consommation. Cette mesure de la pauvreté est plutôt une mesure d’inégalité des revenus (réalisée à partir de l’enquête Revenus fiscaux de l’Insee). - Indicateur non-monétaire, se fondent sur une analyse des conditions de vie, en complètent l’approche monétaire en mesurant les difficultés de la vie courante ressenties par les ménages dans 27 dimensions de la vie quotidienne regroupées en 4 domaines: les contraintes budgétaires, les restrictions de consommation, les retards de paiement et les difficultés de logement (ménages considérés comme pauvres: au moins 8 difficultés).
- Indicateur mesurée à partir des minima sociaux, qui permet d’identifier les personnes bénéficiaires d’une aide dont l’objectif est de lutter contre la pauvreté. L'approche monétaire des inégalités se fonde sur l'enquête « revenus fiscaux » (ERF), qui est imparfaite, ce qui explique des divergences avec les résultats obtenus. L’indicateur monétaire ne permet pas de cerner l’ensemble des difficultés rencontrées par les ménages en termes de non-accès au droits..
L’inconvénient de cet indicateur de la pauvreté à partir des minima sociaux, est qu’il fortement approprier à l’évolution de la législation sociale relative aux minima sociaux, tout modifications des barèmes et des conditions d’attribution ayant un impact sur le nombre et les catégories de bénéficiaires.
Ensuite, tout ces indicateurs on un inconvénient: il y a un décalage entre les données et la réalité de l’état sanitaire et social dont les chiffes ne peuvent rendre compte dans toutes ses dimensions.
Premières critiques des indicateurs tient au fait que les appareil statistique national est fondé sur le concept de classement. (ne sont pas compte les personnes accueillis dans les centres d’hébergement, des foyers, des maisons de retraite, les