Les femmes savantes acte 2 scène 3
La thèse que Chrysale développe est qu'il est supperflu pour une femme d'étudier. Elles doivent avant tout nourir leur famille et qu'elle s'occupe de son foyer. Il utilise des exemples concrets sur le pendentisme qui ne sert à rien.
Pour défendre sa thèse, il s'appuye sur les éléments suivants:
- Les femmes n'ont pas besoin d'apprendre tant de choses, car cela leur est d'aucune utilité dans sa vie de tous les jours.
- Elles sont destinées à faire en sorte que leur ménage aille bien.
L'attitude de Chrysale est très sexiste, car les femmes ont autant à apprendre que les hommes, de plus les hommes et les femmes sont égaux. Il est égoïste, il ne pense qu'à son bonheur, et tant pis pour le reste. Il veut tout, et tout de suite. Il a peur de l'attitude de sa femme.: Le thème de la tirade de Chrysale est la manière sont les femmes ditent savantes parlent, et la critique de leur beau language et de leur éducation. La thèse que Chrysale développe est qu'il est supperflu pour une femme d'étudier. Elles doivent avant tout nourir leur famille et qu'elle s'occupe de son foyer. Il utilise des exemples concrets sur le pendentisme qui ne sert à rien. Pour défendre sa thèse, il s'appuye sur les éléments suivants: - Les femmes n'ont pas besoin d'apprendre ta ...555 - 570 : Chrysale "décharge sa rate" et "lève le masque" : tout ce qu'il a sur le cœur, sans oser jusqu'alors en parler, va être jeté pêle-mêle : les livres, la lunette astronomique (un grand luxe à l'époque ! et les instruments de physique !) Au passage : les moqueries des voisins et l'absence de service des domestiques...
570 - 587 : c'est le programme d'éducation des filles, vu par Chrysale !
585 - 602 : les occupations des Femmes savantes et de leurs serviteurs bien loin des "tâches inférieures" du ménage et de la cuisine.
602 - 614 : une doléance particulière,