Tout d'abord, les textes de G. Minois et l'article en ligne évoquent les différents effets du rire en les répertoriant en 2 parties : les effets psychologiques et les effets physiologiques. Dans ces parties, nous nous intéresserons aux impacts positifs et négatifs que peut engendrer celui-ci.

Sur le plan psychologique, le texte de G. Minois évoque le rire comme un mode de communication pouvant exprimer des « messages affectifs », déclare l'auteur à la ligne 3. En effet, d'après l'article en ligne, les personnes qui rient ont une « vie sociable plus remplie », d'après la ligne 49. Le rire est quelque chose d'universel, ce qui facilite la communication. Ce facteur est important pour l'équilibre des individus. Le rire est aussi présenté comme une « réaction de détente », exprime G. Minois, ligne 14, après un moment de stress. Effectivement, lorsqu'une personne stressée apprend que ce sentiment n'est pas réellement fondé, elle peut en rire. En parallèle, dans l'article en ligne, les personnes qui ont de l'humour sont présentées comme des êtres moins stressés car elles prennent les aléas de la vie comme des « défis stimulants » nous dit l'article ligne 46. Cette forme de communication permettrait aux êtres humains d'avoir une meilleure estime de soi et d'être de nature optimiste donc d'avoir une perception joyeuse de la vie. Mais n'oublions pas le point le plus important véhiculé par le rire, qui est le plaisir.
A présent, sur le plan physiologique, le texte de G. Minois nous expose que le rire est un moyen de « communication prélinguistique », comme nous l'affirme l'auteur ligne 20. Cette idée se rapproche de la notion social présentée dans la partie psychologique. D'après l'article en ligne, le rire engendrerait des biens fait pour la santé. En effet, d'après le professeur Martin, adopter une attitude positive à l'aide du rire et de l'humour renforcerait l'immunité ainsi que réduirait le stress. Celui-ci étant à l'origine de quelques problèmes de santé chez