Les conditions de travail
Les conditions de travail des immigrés
A métier et secteur d’activité comparable, les salariés immigrés, et plus particulièrement les étrangers, ont des conditions de travails spécifiques. Les travaux qu’on leur dédie
Ces salariés ont des conditions de travails très spéciales, parce qu’ils sont surtout présents dans certains secteurs ou métiers. La plupart des immigrés sont déstinés à faire des travails qui demandent un effort physique conséquent. Ils déclarent que leur travail est monotone, qu’il ne permet pas d’apprendre de nouvelles choses, qu’il laisse peu de marges d’autonomie. Ils ont moins souvent accès à l’informatique et sont moins concernés par les modes d’organisations innovants. Ils travaillent le plus souvent de façon isolée et rencontrent aussi plus souvent des difficultés dans leur rapport avec leurs collègues. Ils signalent devoir travailler longtemps debout ou dans des postures pénibles. Pour les femmes les métiers attribués seront plus femmes de ménage ou gardes d’enfants et pour les hommes des travaux de menuiserie et de chantier leurs seront appropriés.
En sachant qu’ils ont des conditions de travail pénibles, ces conditions ne s’appliquent pas à tout le monde.
Les différences flagrante qu’il y a contre ces personnes et leurs causes
Parmi les immigrés, ceux qui ont acquis la nationalité française semblent moins touchés. Les chiffres démontrent que 100% des immigrés étrangers effectuent des travaux difficiles contrairement aux immigrés français qui sont de 66%, les immigrés français se situent donc dans une position intermédiaire. La cause en est en partie que les étrangers sont plus rarement cadres et souvent ouvriers. Pour la classe de 30 à 49 ans, 41% des immigrés n’ont aucun diplôme, 27% un CAP ou BEP, 11% le baccalauréat et 21% études supérieures. En comparant ces données avec la population non immigrée, on constate que si les immigrés font presque jeu égal