Les cités gigantesques ne correspondent ni aux souhaits ni aux besoins des hommes
Un journaliste a écrit un jour : « Les cités gigantesques ne correspondent ni aux souhaits ni aux besoins des hommes. » A une époque où les grandes villes sont de plus en plus nombreuses, cette phrase est pertinente. Mais est-ce vraiment le cas ? Peut-on vraiment affirmer que les grandes villes sont néfastes aux aspirations des hommes ? Celles-ci sont-elles les mêmes pour tout le monde ? Pour répondre à ces questions, nous allons nous pencher sur ce qui se passe dans une ville. Tout d’abord au niveau culturel, avec un grand brassage de cultures mais un risque d’anonymat, puis au niveau professionnel, avec un grand nombre de places de travail mais qui demande souvent des personnes qualifiées, et enfin au niveau médical, avec un accès facile aux soins médicaux mais pas toujours rapidement et une propagation rapide des maladies.
Dans les grandes villes, nous pouvons remarquer qu’il y a un grand brassage de cultures. En effet, des communautés venant des quatre coins du monde se retrouvent, se côtoient, se mélangent, et parfois même s’unissent, ce qui donne naissance à une grande diversité de personnes, de caractères et de mœurs. Cela permet de nombreuses rencontres intéressantes et enrichissantes qui nous amènent à une ouverture d’esprit, à plus de tolérance et de respect. Inversement, ce mélange de civilisation engendre une menace importante de perdre sa propre culture et ses propres croyances. Pour illustrer ces propos, voici un exemple : dans les cités européennes, on trouve de nombreuses traces de la culture américaine, présente dans la nourriture, la mode et aussi dans la langue française avec des mots utilisés quotidiennement qui viennent de l’anglais. Cela nuit à la culture française et risque de lui faire perdre son identité malgré les défenseurs de la langue. Pour expliciter la lutte entre les cultures, nous pouvons parler du contentieux entre la Suisse et les