Hobbes
Je lisais.
Montrez le livre.
J'ai retourné à la fenêtre et le suis allé chercher
Vous n'avez aucune affaire(activité) pour prendre nos livres, vous êtes une personne à charge, la mère dit. Vous n'avez aucun argent. Votre père ne vous a laissés(vous a quittés) personne. Vous devez prier et ne pas vivre ici avec les enfants des messieurs comme nous et manger les mêmes repas nous faisons et portons des vêtements à exepense de notre mère. Maintenant, je vous enseignerai à fouiller mes étagères à livres : car ils sont les miens. La maison entière m'appartient, ou fera dans quelques années. Allez et le stand(la position) par la porte, de la voie du miroir et les fenêtres.
J'ai fait ainsi, pas à premier conscient de son intention. Mais quand j'ai vu qu'il a soulevé le livre, j'ai instinctivement commencé asid avec un cri d'alarme. Non assez bientôt, cependant. Le volume a été jeté, coup(succès,frapper) moi et je me sens, frappant ma tête(responsable) contre la porte et le coupant. La coupe(diminution) a saigné, la douleur était aiguisée : ma terreur avait passé son apogée; d'autres sentiments ont réussi.Garçon mauvais et cruel! J'ai dit. Vous ressemblez à un meurtrier. Vous ressemblez à un slavedriver. Vous ressemblez aux empereurs Rolan!
J'avais lu ... et avais formé mon avis de Nero Caligula, etc. Que ! Que ! Il a pleuré. A-t-elle dit qu'à moi ? L'avez-vous entendue, Eliza et Georgiana ? Je dirai à la mère. Mais d'abord
Il m'a fonctionné(m'a couru) d'une manière extravagante. Je l'ai senti saisissent mes cheveux et mon épaule mais il avait attaqué une chose désespérée. J'ai vraiment vu dans lui un tyran, un meurtrier. J'ai senti une baisse(goutte) ou deux de sang de mon filet principal en bas mon cou : cette sensation a prédominé sur la crainte et je me suis battu frénétiquement. Je ne sais(connais) pas ce que j'ai fait de mes mains, mais il m'a appelé "le Rat! Rat!" Et a beuglé d'à haute voix. L'aide était