Le nomadisme dans germaine guèvremontmont
Alphonsine, elle, à découvert un instinct maternelle grâce au Survenant. Un soir, le Survenant revient complètement ivre, après avoir quitté la maison des Beauchemin pendant quelques jours, Alphonsine l’accueil à la maison en prenant soin de lui d’une manière très maternelle « Sans le vouloir, elle s’attendrit « personne ne prend soin de lui » pensa-t-elle ». Et elle se mit à lui laver plus doucement la figure, comme elle eût lavé un enfant ».( page.126 lignes 12,13 et 14). La comparaison « comme elle eût lavé un enfant », prouve que Alphonsine à décider de prendre soin du Survenant, comme une mère fait avec son propre fils. Finalement, l’homme nomade, permet à Didace de réaliser …afficher plus de contenu…
Vous pourriez encore élever une famille. » ( page 158, lignes 29, 30, 31 et 32) Cette phrase a permis de faire réaliser au père Didace, que se plaindre est inutile, Didace à décider de se remarier et de vivre la vie qu’il désirait. Lors de sa journée de mariage, le Père Didace affirme au Curé : « Le Survenant connaissait tout. Il avait toujours raison. Puisqu’il lui avait conseiller de se remarier, rien de mauvais ne devait en résulter. » ( page 215, lignes 26 à 29). Le fait que rien de mauvais pourrait en résulter, démontre en soi, toute la confiance que le père Didace accorde au Survenant, pour retrouver son bonheur. Bref, le Survenant répand