Le coche et la mouche jean de la fontaine
617 mots
3 pages
Le coche et la mouche est une fable, extraite du livre VII des Fables de Jean De La Fontaine, paru en 1678La fable est majoritairement constitué d’alexandrins, mais aussi d’octosyllabes. L’hétérométrie permet de jouer avec le rythme du texteTitre)L’on voit un contraste de taille entre le coche et la mouche, de plus il y a une assonnance amusante une homophonie ce qui nous renvoie un comique de taille et de motsL1)Adj qualificatif, allitération avec des sonorité différentesL2)Difficulté à cause du soleilL3)« Six forts chevaux tiraient un coche » Valorisation des chevaux mais aussi accentue la place du coche contrairement à la moucheL4) Pour aider à avancer, « tout était descendu »L5)L6)« Une mouche survient » , « survient » irruption directe et brutaleL7)« Prétend les animer par son bourdonnement » persuasion d’animer le groupeL8-9)« Pique l’un, pique l’autre, et pense à tout moment », « Qu’elle fait aller la machine » : Piqure désagréable et elle se persuade encore une fois de son
…afficher plus de contenu…
une femme chantait ; » : critique l’action des personnage autour des chevauxL22) « C’était bien de chansons qu’alors il s’agissait » : afin de faire entendre le ton de la récrimination à l’égard du moine et de la femme qui n’aident pas plus que la mouche à faire avancer le cocheL23) « Dame mouche s’en va chanter à leurs oreilles, » : La mouche est alors personnifiée en « Dame » s’en va énerver et agit inutilementL24) « Et fait cents sottises pareilles » : La mouche s’agite pour rien aidant – au cocheL25)« Après bien du travail le Coche arrive au haut » : Le coche arrive enfin à destination, L26)« Respirons maintenant, dit la mouche aussitôt : » : La mouche s’acclame d’être essoufflée L27)« J’ai tant fait que les gens sont enfin dans la plaine » : La mouche se sent indispensableL28)« ça, messieurs les chevaux, payez-moi de ma peine » : La mouche en vient à demander de l’argent en guise de reconnaissance dut à son travail fournis L29)« Ainsi, certaines gens, faisant les empressés, »