Le coche et la mouche jean de la fontaine
982 mots
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Le texte étudié est une fable de Jean de La Fontaine intitulé « Le Coche et la Mouche ». La caractéristique dominante de la fable est en effet l’utilisation d’une symbolique animale pour parler de comportements humain, créant un effet comique. Les animaux et objets représentant des personnes humaines sont reconnaissable car leur initial est une majuscule capital, donc ici la Mouche, le Coche et les Chevaux représentent donc en réalité des êtres humains dans une situation critiquable car en effet le but de l’auteur dans cette fable est de critiquer des hommes de sont temps qui sont tellement vaniteux qu’ils ne se rendent même pas compte qu’en réalité ils gênent la société. Afin de mieux comprendre la critique faite pas Jean de La Fontaine dans ce texte nous étudierons la contradiction entre la lourdeur du Coche et la petite taille, l’insignifiance de la Mouche qui prétend aider à le déplacer, puis nous étudierons l’effet comique crée par cette situation. Un coche était autrefois un véhicule de transport public vaste et lourd tiré par des chevaux, qui transportait un grand nombre de passagers, surtout des pauvres. On trouve au vers 1 une allitération en m par les mots « chemin, montant, malaisé » ce qui alourdie la phrase, ce qui peut représenter la lourdeur du coche. Ces mots accentuent aussi la difficulté du chemin que le coche emprunte. La lourdeur du Coche se repère principalement lorsque l’on étudie l’état physique des Chevaux qui le tire, en effet « l’attelage » vers 5 représentant les Chevaux « suait, soufflait était rendu ». De plus il est dit vers 19 « qu’aucun n’aide aux Chevaux à se tirer d’affaire » ce qui signifie que les Chevaux ont grande peine a tiré le coche, ce qui est significatif de sa lourdeur. Jean de La Fontaine qualifie même le Coche au vers 11 de « char », cette machine de guerre extrêmement imposante et blindée qui pèse plusieurs tonnes. L’adjectif « forts » au vers 3 qualifiant les Chevaux est également un indice permettant au