Le travail eloigne de nous trois grands maux l'ennui le vice le besoin
| Les esclaves étaient marqués sur l’épaule gauche de l’empreinte de la compagnie pour empêcher le débarquement en fraude. Une fois vendus à port |
|luis, ils étaient exposés, à la vue des acquéreurs, les hommes rangés en ligne d’un côte, les femmes et les enfants- complètement nus- aucune partie de leurs corps|
|n’échappait à l’inspection. Une fois l’inspection faite, les prix débattus et acceptés, les colons envoyaient les esclaves en bandes sur leur plantation. Seuls les|
|jeunes enfants ne pouvaient être séparés de leur mère, pour le reste, la dislocation était complète. |
Le Prix d’un esclave
11 novembre 1787 – un noir coûte 600-700 francs. Les colons voulaient payer 350 francs.
A Guadeloupe – 800-2000 livres.
L’île de France – 1000 livres.
Les noirs étaient vendus sur le pied de 200 livres chacun. Deux esclaves indiens équivalaient à UN noir.
26 Mai 1757
Le gouverneur Magon avait fixé le prix des esclaves.
Un noir ou une négresse de Guinée avec ou sans enfant à la mamelle – 600 livres.
Un ne grillon ou ne grille (7- 14ans)- 300 livres.
Un ne grillon ou ne grille (Guinée) hors de la mamelle jusqu’à 7ans- 150 livres.
Un noir ou une négresse de Caste Mozambique (avec ou sans enfant à la mamelle- une pièce d’Inde- 150 livres.
Un ne grillon ou ne grille hors de la mamelle jusqu'à 7 ans- 112 livres.
Un noir ou nègresse avec ou sans enfant à la mamelle de caste indienne ou de caste malgache- 300 livres.
Un ne grillon ou ne grille capore- 150 livres.
Un ne grillon ou ne grille de la mamelle jusqu’à 7 ans- 75