Le torrent
En premier lieu, sa mère avait elle même une aliénation porté sur le mal depuis la naissance de François, elle en était obsédée, l’argent que celle ci recueillait puis plaçait au fil du temps à l’intérieure d’une enveloppe bien cachée, est en fait de l’argent qui constitue à ‘rembourser’ cette faute qu’elle a commise en ayant un enfants hors des liens du mariage. Claudine est très dévote donc cette faute est, pour elle, une véritable catastrophe. Elle ne compte donc pas dépenser cet argent, ni plus le léguer à son fils, seulement l’accumuler pour un jour éventuellement le brûler ou bien s’en débarrasser. Mais jamais elle n’aura l’intention de s’en servir pour elle même ou pour son fils qu’elle considère comme étant le ’mal’ incarné.
En temps normal, lorsque l’on souhaite racheter une faute, se faire pardonner de quelque chose de mal autrement dit, ce n’est pas avec de l’argent en tant que tel, mais bien par des actes et/ou services rendus à autrui que nous réussissons à obtenir le pardon des gens autour de nous. Cette obsession du mal fut transmise naturellement à son fils François. Il fut également obsédé par le mal qu‘il imagine tout