Premièrement, Le Survenant, un Grand-Dieux-Des-Routes, considère la sédentarité comme un élément qui est contre nature. Pour lui, la vie de nomade est idéale, mais en habitant chez les Beauchemin, la vie sédentaire lui apparaît comme forcé pour avoir un gîte durant l’hiver. Pour une personne qui est habitué aux grandes routes et au voyages, le Survenant prend un peu mal sa vie provisoire. Il est une personne irresponsable face à l’argent, l’alcool et les femmes donc pour lui, le fait d’avoir des règlements, c’est inhabituel. C’est un peu comme un loup dans une meute de chien. Il doit s’adapter malgré lui. Pour démontrer son côté irresponsable, l’épisode du temps des fêtes est parfait. Durant une soirée organisée par un voisin, Venant profite d’un moment ou tous les invités sont occupés pour demander à la jeune fille de maison de lui servir un verre. En se refugiant dans une des pièces de la maison, le Survenant abuse de l’hospitalité de la jeune femme. Il demande et redemande à quelques reprises de remplir son verre. Dès que la jeune femme lui dit qu’il a assez but, il saute sur l’occasion pour lui faire la cours. Ce n’est pas une personne sédentaire qui aurait profité de l’occasion ainsi car ils ont des règles à suivre. Tout contrairement à sa vie de nomade, le Survenant trouve la vie chez les Beauchemin redondante. Pour permettre à se dernier un endroit où passer l’hiver, le père Beauchemin lui demande en échange, de faire du travail sur la terre. Le Survenant trouve difficile de répéter du travail encore et encore. Quand quelqu’un est habitué à faire ce qui lui plaît au jour le jour, du travail à la chaine est le dernier choix possible. Toujours les mêmes actions, toujours la même routine et toujours voir le même monde n’est pas synonyme d’épanouissement. De plus, l’appel de la route est très fort pour une personne qui a passé sa vie sur les routes du Québec. Pour ce nomade, l’évasion est une chose assez importante. À plusieurs reprises, il voyage au village