Le stress au travail
Sommaire
Introduction 2
I. les employeurs 3 2.1. leurs obligations 3 2.2. le point de vue du patronat 5 2.3.1. L’Union Professionnelle Artisanale (UPA) 5 2.3.2. La CGPME 6 2.3.3. Le mouvement des entreprises de France (MEDEF) 7 II. Les institutions 7 3.3. Les lois relatives aux institutions 8 3.4.4. La médecine du travail 8 3.4.5. L’ANACT 9 3.4.6. Le CHSCT 10 3.4.7. L’Institution Nationale de Recherche et Sécurité (INRS) 11 3.4. Les syndicats 11 3.5.8. La Confédération Française Démocratique du Travail (CFDT) 12 3.5.9. La Confédération Générale du Travail (CGT) 12 3.5.10. La Force Ouvrière (FO) 13
Conclusion 13
Bibliographie 15
Annexes 16
Introduction
En mars 2011, 35% des salariés se disent stressés et ce, qu’ils travaillent dans le secteur public ou privé, d’après une étude de l’IPSOS. Le stress est également la source de près de 50 à 60% de l’absentéisme au travail en Europe. Cela constitue la deuxième cause d’absence au travail après le mal de dos.
De nos jours, le stress est devenu une composante très importante du monde du travail. Le stress peut en effet toucher toutes les catégories socioprofessionnelles. Toutefois, même s’il est de plus en plus fréquent en entreprise, le stress reste difficile à définir, en raison de sa subjectivité.
De nombreux débats existent encore sur la façon de définir le stress. Selon le dictionnaire Larousse, le stress est « un ensemble de perturbations biologiques et psychiques provoqué par une agression quelconque sur l’organisme. » Malgré des divergences, beaucoup s’accordent à dire qu’il y a deux types de stress : l’un bénéfique, l’autre négatif.
C’est H. Selye qui a défini pour la première fois la notion de stress bénéfique, qu’il appellera même « l’eustress », le « eu » en grec