Le stress au travail
Comme cela a pu être mentionné, il a été prouvé scientifiquement que les termes de « stress positive » ou « stress négative » n’existe pas réellement. Ce qui peut différer c’est la perception ou la résistance de l’individu concerné face à ce problème. Ce qui peut être affecté est la santé de l’individu et tout ce qui l’entoure. Mais les enjeux de ce phénomène peuvent aussi affecter la santé de l’entreprise. En effet les conséquences du stress ont aussi un impact sur l’organisation et la santé économique de l’entreprise, ce qui implique un coût pour la société dans son ensemble. Dans ce cas là, il est important de dire qu’on parle de « stress chronique et élevé » dans l’entreprise.
Dans la désorganisation de l’entreprise et l’aspect collectif de celle-ci, on peut ainsi noter une augmentation de l’absentéisme et du turn-over, des difficultés à remplacer le personnel ou recruter de nouveaux employés, des accidents de travail, une démotivation et une baisse de la créativité et de la concentration, une dégradation de la productivité et une augmentation des rebuts ou des malfaçons, une dégradation du climat social qui entraîne une mauvaise ambiance au travail, des atteintes à l’image de l’entreprise etc.
Ces disfonctionnements sont des indicateurs de stress au travail, ce qui implique forcément un coût pour l’entreprise qui vaut cher.
Le phénomène de stress n’est pas récent mais certains faits divers qui concerne ce phénomène on accéléré le processus de prise en charge des employés par les entreprises. L’augmentation du chômage et certains suicides en sont de parfait exemple. Un dicton dit qu’il vaut mieux prévenir que guérir et les entreprises se sont rendu compte que subir les conséquences du stress avait un coût plus important que de prévenir ou anticiper celui-ci, avec l’aide bien sûr de certaines études. Dans ce cas, l’avantage pour les entreprises est que les coûts des mesures de prévention collective sont amortis assez